Titre de série : |
les esclaves de le mémoire |
Titre : |
Izkor |
Type de document : |
document projeté ou vidéo |
Auteurs : |
Eyal SIVAN |
Editeur : |
FR3 |
Année de publication : |
1991 |
Catégories : |
100 Violences:134 Violations des droits de l’homme
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Résumé : |
Souviens-toi se dit "Izkor" en hébreu. Ce mot résonne à n'en plus finir à l'occasion de quatre célébrations fondamentales tombant en bloc au mois d'avril en Israël : la Pâque, le jour de la Shoah et de l'Héroïsme, le jour du souvenir des soldats morts et enfin la fête de l'Indépendance. La mémoire est une marâtre pour le réalisateur qui en a soupé, dans sa jeunesse passée sur place, de ces incessantes antiennnes sur le sionnisme, le civisme, la Bible...Dans les salles de classes, tout n'est selon Eyal Sivan que propagande, bourrage de crâne, lavage de cerveau. En contrepoint, un vieux professeur, Yeshayashsou Leibovitz enrage sur le thème. Il critique le bon et le mauvais usage de ces rappels incessants au souvenir, qui, selon lui, conduisent à une "bonne conscience" capable de tout...Ce douloureux et très grand documentaire, primé au Festival international de programmes audiovisuels, laisse seul et anéanti avec la conscience qui bat la chamade... |
les esclaves de le mémoire. Izkor [document projeté ou vidéo] / Eyal SIVAN . - FR3, 1991.
Catégories : |
100 Violences:134 Violations des droits de l’homme
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Résumé : |
Souviens-toi se dit "Izkor" en hébreu. Ce mot résonne à n'en plus finir à l'occasion de quatre célébrations fondamentales tombant en bloc au mois d'avril en Israël : la Pâque, le jour de la Shoah et de l'Héroïsme, le jour du souvenir des soldats morts et enfin la fête de l'Indépendance. La mémoire est une marâtre pour le réalisateur qui en a soupé, dans sa jeunesse passée sur place, de ces incessantes antiennnes sur le sionnisme, le civisme, la Bible...Dans les salles de classes, tout n'est selon Eyal Sivan que propagande, bourrage de crâne, lavage de cerveau. En contrepoint, un vieux professeur, Yeshayashsou Leibovitz enrage sur le thème. Il critique le bon et le mauvais usage de ces rappels incessants au souvenir, qui, selon lui, conduisent à une "bonne conscience" capable de tout...Ce douloureux et très grand documentaire, primé au Festival international de programmes audiovisuels, laisse seul et anéanti avec la conscience qui bat la chamade... |
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